L’autodétermination

Et si réaliser une tâche ne dépendait pas uniquement de vous ? Et si votre personnalité était régie par des besoins psychologiques fondamentaux et qu’y répondre permet de vous mener vers l’épanouissement personnel ? Être autodéterminé, c’est pouvoir répondre à la fois à un sentiment de liberté, d’intérêt, de valorisation et d’acceptation. L’autodétermination est alors fondamentale à notre bien-être.

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Nous utilisons l’Intelligence Artificielle à la fois à travers un coach appelé Camille, et également au sein de personnages virtuels dans les scènes. Camille vous permet d’être accompagné et représente une personne de confiance à laquelle vous pouvez vous confier sans jugement.

Les personnages virtuels, eux reproduisent de manière fidèle les comportements sociaux de la vie réelle. Vous interagirez avec ces personnages dans divers contextes du quotidien, tels qu’une soirée, un rendez-vous amoureux, un entretien d’embauche ou une discussion spontanée dans la rue. En savoir plus

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1. LA THÉORIE DE L’AUTODÉTERMINATION, QU’EST CE QUE C’EST ?

La théorie de l’autodétermination vient de la psychologie de la motivation qui a été mise en place par Deci et Ryan, deux professeurs de psychologie, dans les années 2000. L’autodétermination est une théorie sur les motivations humaines à réaliser une tâche. Elle est particulièrement utilisée pour comprendre la motivation des personnes dans les entreprises, les écoles, ou encore dans les activités. En d’autres mots, c’est l’autodétermination qui va régir presque toute notre vie.

2. QUELLES SONT LES MOTIVATIONS DE L’AUTODÉTERMINATION ?

Ces motivations humaines sont issues de trois besoins psychologiques fondamentaux à l’être humain : le besoin d’autonomie, le besoin de compétence et le besoin de relations sociales.

Besoin d’autonomie

Le besoin d’autonomie est le fait de pouvoir être maître et à l’origine de ses actions. C’est pouvoir vivre, pleinement et consciemment, de manière choisie, son expérience. Pour être réellement celles que l’on veut qu’elles soient, nos actions doivent pouvoir répondre à nos valeurs. Pour autant, elles prennent en considération l’environnement et notre entourage. Etre autonome, c’est aussi pouvoir assumer les décisions qui ont été prises. 

L’autonomie permet d’avoir le contrôle de sa vie, et de ne pas laisser les autres diriger notre vie.

Besoin de compétence

Le besoin de compétence est pouvoir être efficace, et augmenter continuellement le niveau de difficultés des tâches que l’on a à effectuer. Il met en avant les efforts fondamentaux pour relever un défi ou une tâche. Nous cherchons constamment à mettre en place nos connaissances, mais également d’aller au-delà pour répondre à des capacités plus élevées. Le besoin de compétence est donc soit de diminuer la difficulté de la tâche ou d’augmenter ses compétences personnelles. 

La crainte de l’échec peut parfois aller au-delà de notre besoin de compétence, et créer un comportement d’évitement.

Besoin de relations humaines

Le besoin de relations sociales est inhérent à l’homme. De nature, l’être humain a besoin d’appartenir à un groupe pour survivre. Etre bien au sein d’un groupe, avec des relations sincères et chaleureuses réduit les risques de dépression, d’anxiété, augmentant ainsi l’espérance de vie et le bien-être.  Nous nous connectons avec les autres dans le but d’une recherche de bien-être et de se retrouver soi à travers l’autre. Ressentir une chaleur et un intérêt commun rassure l’homme et lui donne les outils pour continuer à se construire. 

Appartenir à un groupe, ça n’est pas seulement faire partie d’un cercle, c’est savoir que l’autre se soucie de nous, et nous aime. Il faut que ces relations soient naturelles, remplies de compassion, d’acceptation et de valorisation mutuelles.

3. À QUOI SERVENT NOS BESOINS ?

Plus ces besoins sont satisfaits, plus la motivation à la réalisation de la tâche est grande. A l’inverse, moins ces besoins sont satisfaits, moins la personne s’investit dans les tâches qu’elle a à réaliser. 

Cette motivation moindre, va engendrer moins d’engagement de la part de la personne, donc de moins bonnes performances et un moins bon apprentissage. Dès lors, une motivation faible à la tâche entraîne des conséquences physiques, comportementales et psychologiques.

4. QUELLES SONT LES CARACTÉRISTIQUES DE CES BESOINS-CI ?

Ces trois besoins fondamentaux ont des caractéristiques qui leur sont propres, et qui définissent chaque être humain. Ces besoins sont innés, c’est-à-dire qu’ils existent en nous dès notre naissance. Ils ne nous ont pas été appris. De plus, ils sont universels, quelle que soit notre culture, notre éducation ou même notre âge, puisqu’ils restent tout au long de notre vie. 

Ces besoins sont la base de notre personnalité et de notre évolution dans notre vie. Ils favorisent notre bien-être et à l’inverse, s’ils ne sont pas satisfaits, augmentent notre mal-être. Elles sont donc essentielles au développement de la personne.

5. QU’EST CE QU’EST LA HIÉRARCHIE DES MOTIVATIONS DE L’AUTODÉTERMINATION ?

Il existe une hiérarchie des motivations comme une hiérarchie des besoins. C’est-à-dire que lorsqu’une motivation est satisfaite, une autre va, petit à petit, prendre sa place selon l’ordre hiérarchique de l’humain. Il suit un ordre qui va d’aucune motivation à remplir la tâche à une motivation selon nos valeurs et motivations internes. Cet ordre va de l’amotivation à la motivation intrinsèque.

6. QUELLE HIÉRARCHIE DES MOTIVATIONS DE L’AUTODÉTERMINATION ?

Les motivations suivent une hiérarchie bien définie, qui ne va d’aucune motivation à réaliser la tâche, à la motivation extrinsèque, puis à la motivation intrinsèque. Pouvoir répondre à la hiérarchie des motivations, permet un meilleur engagement de la personne, et par conséquent un meilleur apprentissage. 

En effet, si un enfant comprend la raison pour laquelle doit faire une opération, et que ça représente quelque chose dans sa vie, il s’en souviendra beaucoup plus facilement.

L’amotivation

L’amotivation est le fait qu’il n’y ait aucune motivation à répondre à la tâche ou au défi. La personne ne ressent aucun intérêt, aucun sentiment de capacité à agir à faire cette action. Nous avons l’impression que nous sommes soumis à des éléments qui nous sont hors de contrôle.

Dans cette première étape, il y a un manque d’engagement, peu ou pas d’énergie et pas de régulation des émotions face à l’action demandée.

La motivation extrinsèque

La motivation extrinsèque vient de composantes externes, que ça soit en sanctions (ex : je fais mes devoirs sinon je serai privé de télévision), ou en récompense ( ex : le salaire à la fin du mois lorsque l’on est employé). Ces motivations extrinsèques peuvent être introjectées ou identifiées.

- Motivation introjectée

Cette motivation vient des valeurs et de la réussite personnelle. Elle rejoint l’image de soi. On ne veut pas décevoir les autres, on a honte de ce que l’on peut proposer aux autres, on peut culpabiliser (sydrome de l’imposteur, etc.) On va attendre des autres qu’ils valorisent nos actions (ex : primes, recommandations, feedback positifs etc.)

- Motivation identifiée

Les actions sont en lien avec les valeurs de la personne, et elles ont du sens pour elle. Elle s’identifie à l’action qu’elle est en train de faire et fait de son activité une de ses valeurs principales.  La personne attend ici de ses supérieurs un feedback constructif.

La motivation intrinsèque

Elle est régie uniquement par le plaisir et l’intérêt personnel que l’action procure de manière personnelle. Nous avons envie de faire cette action pour la seule raison que nous aimons le faire. Aucune récompense externe n’est attendue.

7. POUVONS-NOUS MODIFIER NOS MOTIVATIONS ?

Il est possible de modifier nos motivations. En revanche, il est plus difficile de passer d’une motivation extrinsèque à une motivation intrinsèque. En effet, si pour un même travail, on vous propose de vous payer, vous accepterez beaucoup moins facilement de le faire gratuitement même si vos motivations pouvaient être intrinsèques. Les intérêts et les valeurs sont difficiles à changer. En revanche, vous pouvez avoir une motivation personnelle et avec un haut degré d’autodétermination, même si vous êtes payé. 

Il est donc important de se rappeler que pour motiver nos pairs, nos collègues, nos enfants … il faut que les trois besoins (autonomie, compétence, relations humaines) soient satisfaits. Chacune des actions individuelles forment l’organisation. C’est pourquoi, faites toujours attention à ce que vous transmettez aux autres dans le respect de ces valeurs et de ces besoins.

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Phobie Sociale

FAQ

La réalité virtuelle (VR) est une technologie innovante qui permet d’exposer les patients à des environnements immersifs et contrôlés, facilitant ainsi la prise en charge de nombreux troubles psychologiques et psychiatriques. Son utilisation en santé mentale présente plusieurs avantages :
  • Une exposition progressive et contrôlée : La VR permet de confronter les patients à des situations anxiogènes dans un cadre sécurisé, en ajustant progressivement l’intensité des stimuli pour favoriser l’habituation et la gestion des émotions.
  • Un environnement réaliste et reproductible : Contrairement aux techniques traditionnelles, la VR offre des scénarios immersifs qui peuvent être reproduits à l’identique, garantissant une prise en charge cohérente et efficace.
  • Un engagement accru du patient : L’aspect interactif et immersif de la VR favorise l’adhésion au traitement et motive les patients à poursuivre leur thérapie.
  • Une prise en charge personnalisée : Grâce aux environnements virtuels adaptables, les thérapeutes peuvent ajuster les exercices aux besoins spécifiques de chaque patient.
  • Des applications variées : La VR est utilisée dans le traitement des troubles anxieux (phobies, stress post-traumatique, troubles obsessionnels compulsifs), des addictions, des troubles de l’humeur et même en remédiation cognitive.
L'utilisation de la réalité virtuelle en santé ne date pas d’hier ! Elle est étudiée et utilisée depuis plus de 30 ans dans le domaine médical et psychologique. Dès les années 1990, des chercheurs ont commencé à explorer son potentiel pour traiter les troubles anxieux, notamment les phobies et le stress post-traumatique. Depuis, de nombreuses études scientifiques ont confirmé son efficacité dans la prise en charge de divers troubles psychiatriques, neurologiques et cognitifs.
 
Aujourd’hui, la réalité virtuelle est largement intégrée dans les pratiques thérapeutiques et médicales, avec des protocoles validés cliniquement. Elle est utilisée dans les hôpitaux, les cliniques et les cabinets de psychologues à travers le monde pour offrir aux patients des traitements innovants, efficaces et sécurisés.
 
Afin d’utiliser la réalité virtuelle, il est nécessaire de s’immerger dans un environnement virtuel. Pour ce faire, il existe plusieurs façons.
 
En effet, l’utilisation du CAVE, un système 3D composé de plusieurs murs d’écrans, était majoritairement utilisé par le passé.
 
L’utilisateur se retrouve totalement plongé dans le monde virtuel et ses mouvements sont détectés en temps réel. Cette solution a le défaut d’être très onéreuse et peu accessible.
 
Depuis environ 2016, avec l’apparition de l’Oculus Rift et de l’HTC Vive, des casques de réalité virtuelle, son usage est rendu beaucoup plus accessible. Il permet de s’immerger dans la réalité virtuelle grâce à un écran occultant sur lequel sont projetées des images virtuelles. Les mouvements de tête de l’utilisateur sont pris en compte, ce qui lui permet de tourner la tête pour observer autour de lui comme dans le monde réel.
 
Aujourd’hui, les casques sont sans fil et autonomes, offrant ainsi un confort d'utilisation maximal.
Un environnement virtuel est une simulation numérique immersive créée grâce à la réalité virtuelle. Il permet à l’utilisateur d’évoluer dans un espace en 3D qui reproduit fidèlement des situations du quotidien ou des contextes spécifiques.
Dans le domaine de la santé mentale, ces environnements sont conçus pour aider à s’exposer progressivement à certaines situations, à travailler sur la gestion des émotions ou à améliorer des capacités cognitives. Grâce à l’interaction avec ces espaces virtuels, il est possible de vivre des expériences engageantes et adaptées aux besoins de chacun.
Seulement d’une connexion internet. Le logiciel est accessible directement dans le casque.
Les nombreuses études confirment la non-dangerosité de l’utilisation de la réalité virtuelle. Il existe néanmoins quelques restrictions pour protéger les utilisateurs d’éventuelles conséquences négatives.
 
Ainsi, les personnes épileptiques et enceintes ne peuvent bénéficier de ce type de thérapie.
Comme pour toute technologie immersive, une utilisation prolongée peut entraîner une fatigue visuelle ou un léger inconfort, notamment chez les personnes sensibles au mal des transports. C’est pourquoi il est recommandé de faire des pauses régulières et d’adapter la durée des sessions en fonction de chaque utilisateur.
 
Les environnements virtuels sont conçus pour être progressifs et contrôlés, minimisant ainsi le risque d’anxiété excessive. La plupart des utilisateurs s’adaptent rapidement à l’immersion et ressentent les bienfaits de cette approche innovante dès les premières séances.
Les troubles anxieux et phobies peuvent être traités en réalité virtuelle. La patient va être exposé à des situations anxiogènes dans différents environnements de façon graduelle et progressive, tout en restant dans un lieu sécuritaire. Un sentiment d’habituation va ainsi se créer petit à petit jusqu’à faire diminuer, voire disparaître l’anxiété.
 
Les addictions comportementales et aux substances sont des pathologies pouvant être traitées par la réalité virtuelle. En effet, grâce à des stimuli synthétiques placés dans les environnements et provoquant la réponse de craving, les patients en situation d’addiction pourront travailler sur leur craving afin d’atténuer la réponse de consommation.
 
De plus, les multiples situations (bar, casino, contextes sociaux) permettent un travail cognitif sur les croyances dysfonctionnelles en lien avec la singularité de chaque situation de tentation.
 
Concernant les troubles du comportement alimentaire, les logiciels en réalité virtuelle permettent de cibler des facteurs étiologiques primordiaux tels que la dysmorphophobie, le verrou allocentrique (tendance à concentrer son attention sur autrui plutôt que soi-même) et le craving alimentaire.
 
Par ailleurs, nous disposons actuellement dans la prise en charge en TERV, de multiples logiciels répondant aux déterminants psychiatriques, psychologiques et neuropsychologiques importants : relaxation, stimulation cognitive, activation comportementale, habiletés sociales…
 
La réminiscence est un levier thérapeutique majeur dans le traitement de la dépression. En offrant à vos patients la possibilité de revivre les sensations liées aux activités de plaisir autrefois investies (sport, conduite automobile, voyages) vous permettez la stimulation des zones cérébrales en hypo-activation et favorisez ainsi le succès thérapeutique. La réalité virtuelle apparaît comme un médiateur très intéressant pour amorcer l’investissement dans des activités de plaisir.
 
Par ailleurs, la stimulation cognitive chez le sujet âgé est aussi une possibilité proposée par la réalité virtuelle. Facilitée par la technologie rendant les activités de stimulation plus ludiques et aisées, les patients et résidents d’EHPAD pourront travailler leurs fonctions exécutives et leur mémoire via des applications créées pour les besoins spécifiques de cette patientèle.
 
Aujourd’hui, la réalité virtuelle dans le champ de la santé mentale progresse à grande vitesse. Les chercheurs, cliniciens et développeurs s’affairent autour de nouvelles cibles pathologiques pour offrir prochainement de nouveaux dispositifs thérapeutiques.
Ça peut arriver, on appelle cela la cybersickness. C’est un phénomène bien connu des scientifiques qui touche une partie de la population. Heureusement, il est réversible ! Pour s’y habituer, il est conseillé de commencer par des environnements plutôt statiques (comme ceux de relaxation), puis de faire de légers mouvements de tête. Ensuite, on peut progressivement passer à des déplacements lents. Cela permet au corps de s’adapter à la sensation de mouvement dans le casque tout en restant physiquement immobile.
La réalité virtuelle peut être utilisée par tous les professionnels de santé qui accompagnent des patients sujets à l’anxiété, aux phobies, aux troubles du stress post-traumatique, aux addictions ou à d’autres troubles psychologiques.
 
Elle est particulièrement adaptée aux psychologues, psychiatres, neuropsychologues, infirmiers spécialisés, mais aussi aux psychomotriciens, kinésithérapeutes, diététiciens, sophrologues, hypnothérapeutes ou tout autre thérapeute intervenant dans la gestion du stress ou du bien-être mental. Grâce à des environnements immersifs variés, cette technologie permet d’enrichir les approches thérapeutiques et d’offrir des outils innovants pour améliorer la prise en charge des patients.
Le thérapeute, en s’équipant de dispositifs permettant la réalisation de thérapies par exposition à la réalité virtuelle (TERV), agrémente de ce fait son champ de compétences. En effet, les TERV sont une technique de prise en charge à part entière.
 
Adopter cette solution thérapeutique c’est aussi se manifester auprès des prescripteurs et se distinguer des offres de soins les plus pratiquées.
 
De plus, loin de n’être qu’un atout stratégique pour le développement d’un cabinet ou d’un établissement, les TERV bénéficient de la validité scientifique des thérapies cognitivo-comportementales. Dans la réalité de la pratique clinique, c’est un atout favorisant l’engagement thérapeutique grâce à son aspect ludique.
 
De plus, cette technologie offre un gain de temps considérable puisque de nombreux environnements d’expositions sont directement accessibles depuis le bureau du thérapeute.
Un des avantages considérable de la réalité virtuelle est qu’elle est effective sur un large spectre de population. Les données existantes de la littérature sur le sujet nous montre que l’on peut tout à fait exposer une large tranche d’âge en réalité virtuelle et ce, avec de réels bénéfices thérapeutiques à la clé.
 
Les études attestent, en effet, d’une excellente faisabilité et de résultats significatifs; notamment chez les adultes, dans les prises en charge de troubles anxieux (y compris phobie scolaire), autisme, addictions, troubles du comportement alimentaire, troubles neuropsychologiques, troubles psychotiques et troubles thymiques.
 
Les résultats sont identiques pour les adolescents avec une plus-value conséquente concernant l’engagement thérapeutique où la réalité virtuelle favorise l’intérêt des adolescents pour leur thérapie.
 
Chez les sujets âgés, les résultats d’études encouragent l’utilisation de la réalité virtuelle dans le but de travailler la stimulation cognitive, sur les troubles du comportement mais aussi les angoisses.
 
En revanche, les personnes épileptiques et enceintes ne peuvent bénéficier de ce type de thérapie.
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